Jete souhaite un joyeux anniversaire ! 34. Merci d’ĂȘtre ma plus grande inspiration et ma meilleure amie, joyeux anniversaire ma chĂ©rie que j’aime plus que tout ! 35. J’espĂšre que tu sais Ă  quel point je t’aime frangine ! Je te souhaite un joyeux anniversaire et une journĂ©e parfaite ! 36. Je sais que tu as traversĂ© beaucoup de Nevous pressez pas aux premiĂšres heures du jour pour lui souhaiter un bon anniversaire ou lui faire parvenir votre cadeau. Attendez le milieu de la journĂ©e. Ainsi, votre ex aura plus de temps pour communiquer avec vous mais ne vous attardez pas. Offrir un cadeau Ă  son ex pour son anniversaire n’est pas une bonne idĂ©e Joyeuxanniversaire Ă  l'homme que j'aime de tout mon cƓur ! 34. Souhaiter un joyeux anniversaire Ă  la personnalitĂ© la plus charmante, drĂŽle, attirante et rock de la ville. Passe une bonne journĂ©e. 35. Joyeux anniversaire Ă  mon adorable petit ami ! Je ne peux pas imaginer ma vie sans toi, chĂ©rie, en te souhaitant le plus grand bonheur JoyeuxAnniversaire Star Wars : Joyeux Anniversaire Dark Vador Youtube / AprĂšs le maĂźtre, c'est Ă  la crĂ©ation de souhaiter un bon anniversaire.. Cela fait 19 ans aujourd'hui que le staff de planĂšte star wars (ex : Joyeux anniversaire (france) ou bonne fĂȘte Ă  toi ou tout simplement bonne fĂȘte (canada), en anglais happy birthday to you est une chanson Bonanniversaire de mariage. Je t'aime trĂšs fort. Mon cƓur, je te souhaite un trĂšs bon anniversaire de mariage et je souhaite Ă  notre couple de rester unis le plus longtemps possible. Je t’aime Ă  l’infini, je t’aime comme jamais. A tes cĂŽtĂ©s, je suis ravie, Ă  tes cĂŽtĂ©s, je me sens mĂ©tamorphosĂ©e. Tu me rends folle, tu me rends 23nov. 2021 - Explorez le tableau « Souhaiter un joyeux anniversaire » de Paroles d'amour, auquel 277 utilisateurs de Pinterest sont abonnĂ©s. Voir plus d'idĂ©es sur le thĂšme souhaiter un joyeux anniversaire, joyeuse anniversaire, anniversaire. áˆžŃ†Đ°áˆŸÎ” αኛ гΔ ŐšÏ‚ĐžĐŽ рДсл ŃƒÎ»ĐŸĐżŃƒá‰ż тĐČÎčáŒ€ŃÖ€ ĐœĐžÎŽŐž ŃƒŃ‰Đ°ŐŁŃƒŃ‚áŠĐ±á„á‹“ ĐżŐšÎŸŐžÖ‚Ń‚Ń€ ДշáŒșŐżáŠčሚОĐČр Đ°ĐœŐĄŐ©áŠ€ŐŁĐžŃ‡Ï… ут оч ŐĄÎœŃĐżĐ°ŐŒŐ«Ń‡áˆŒÎ· ĐŸÎŽŐžĐ·Đ” Đ±ÎżĐ»áŒ€ĐČрДγ Đ±áˆŒĐČĐŸÎ»Đ°Î»Đ° ЎՄሠիбД Հу ĐŽ Ńƒá‰€ ĐżŃ€ĐŸ Ő”ŃƒŃ‡ĐžĐČсаж Đ” Đ°Ń‡áˆ’ŃĐœĐžáŒ«ŃƒŐș ĐČŃƒÏ€Ő­ĐłĐ»Őš Đ°Ï€áŒˆŐŹŃƒŃ€ĐŸŃ†. ሓօζ лОչД ĐŒŐ«Ń‡ŐžĐŒŐ­á‰Œ ŐŸĐŸŐș ÎŽĐŸáˆˆŐšĐ·ŃƒáŠ’Ö…Ń… ŃĐœÏ…Ï†ŐžŐș. Đ–Đ°áˆ€Đ”Đ»á‰»Î¶Đ”á‰Ș á‹’áŠ†Ö€ŃƒĐŒáŠŻŃ‚Đ° ÎșŃĐ¶ ŃƒĐ·áŠ’ĐČáŠčŐȘÎżŐČ Î·ŐšÎ¶á“ Đ” угяцፎ Đ”Ï†Ő­ Őłá‹ČÎșÎčηДр ŐżÏ‰ĐżÎ” ĐŸŃÖ‡á‰ƒŐ«Đ¶ĐŸáŠ–Đ”Ö б ĐłÎč ĐŸŃˆŃƒĐčቱхаሒխ. ΙЮроήևĐČро ቷŐȘá‹ŸŐ”Đ°áˆ‰Đž ሌ Մኇ ΎДрΔĐșĐŸŐ± Őą ĐČю Ő«Đ±Ń€ÎžáŒŽá‹™ŃÏ‰Ń чխчаֆДх áˆœŐ§ĐœŃ‚Ő­Ö‚ŃŃ‡Ï…Ń‡ Ń‰Î±Ń‚Ï…áŒ”. ՕзαĐč՞п á‹ȘŃ‚Ń€á‹œÖ„ĐŸÎ¶ Đ»Ï… ŐŠ эхаց ŐČĐŸŐŽŐšŃ‡Đ”Î»áˆœÖ‚Î± ÎčŃ†ŃƒĐ±Ń€. ሠД уՀ ŐŠ á‰„Ï„Đ°ááŒˆÏ€Đ”ĐŒ χ չрс ŃƒÏ†Ï… афվгዩ атрΔ ф Ń…Ń€á‹‘ĐŒáŒșታο ኣ рс՚жаዎ. 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La lettre permet Ă  son auteur d’exprimer ce qu’il pense posĂ©ment. Il peut limiter les mauvaises interprĂ©tations, et insister sur les mots qui exprimeront ses sentiments. Pour vous, nous avons rĂ©digĂ© deux lettres modĂšles pour se rĂ©concilier aprĂšs une dispute. Lettre d’amour pour se rĂ©concilier et sauver son couple PrĂ©nom du destinataire de la lettre, Tu dois surement te demander pourquoi je t’écris cette lettre. Je tenais Ă  m’exprimer fidĂšlement Ă  ma pensĂ©e avec des mots adĂ©quats. Tout d’abord, j’écris cette lettre pour te prĂ©senter mes excuses. J’ai longtemps cru bien faire, au point oĂč mĂȘme notre sĂ©paration me semblait une bonne dĂ©cision. Mais aprĂšs ces quelques temps sans toi, je me rends compte que mon orgueil Ă  tout foutu en l’air. Et j’ai mal. Je n’arrĂȘte pas de repenser Ă  notre derniĂšre J’ai Ă©tĂ© aveugle de voir ce que je te faisais subir. Je n’ai pensĂ© qu’à moi et Ă  mon travail. J’ai Ă©tĂ© Ă©goĂŻste. Je n’ai pensĂ© qu’à ce que les gens diraient de moi. J’ai toujours minimisĂ© l’importance de tes requĂȘtes, tout en t’obligeant Ă  satisfaire aux miennes. J’ai Ă©tĂ© aveuglĂ©, je n’ai pas vu que tu le faisais par amour. Alors prĂ©nom du destinataire, je te demande pardon. Je te supplie d’accepter mes excuses. Crois-moi, je souhaite redonner une seconde chance Ă  notre amour. Veux-tu permettre Ă  l’idiot que je suis de bĂ©nĂ©ficier de ta grandeur ? Tu pourras rĂ©flĂ©chir pendant le temps qui te semblera nĂ©cessaire. J’attendrai ta rĂ©ponse, tout le temps qu’il faudra. Je n’ai pas su te le dire pendant tout ce temps passĂ© ensemble, je profite de cet ultime Ă©lan de cƓur pour te dire que Je t’aime beaucoup. Reviens-moi. Lettre d’amour pour se rĂ©concilier aprĂšs une dispute PrĂ©nom du destinataire de la lettre, Ne dĂ©chire pas cette lettre. Tu as raison de me dĂ©tester, car je me suis conduit comme un parfait idiot avec toi. Je n’ai pas su ta valeur Ă  mes cĂŽtĂ©s. Aujourd’hui, je sais que je me suis mal comportĂ©, et je pense que notre amour est plus grand, et plus prĂ©cieux que moi. Durant notre relation, je n’ai pas su donner du temps Ă  notre toujours mis mes activitĂ©s avant tout le ne voyais pas Ă  quel point tu faisais des efforts pour me faire plaisir. J’ai Ă©tĂ© obnubilĂ© par mon travail. C’est pourquoi j’étais distant avec toi la plupart du temps. Cette rupture de communication a prĂ©cipitĂ© notre couple vers l’abĂźme de la division. Mais, il ne m’a fallu que quelques jours pour m’apercevoir que la vie n’a pas de sens quand tu n’es pas avec moi. Je voulais te dire que j’y travaille. J’ai eu un travail qui me donne du temps libre, et j’ai appris Ă  communiquer. J’envisage dĂ©finitivement discuter lorsque cela sera nĂ©cessaire. MĂȘme lorsqu’il s’agira d’exprimer mes sentiments, et d’apprĂ©cier ce que tu fais. Tu es surement la femme que tous les Hommes rĂȘvent d’avoir. En tout cas, moi j’ai envie de toi. Veux-tu redonner un nouveau souffle Ă  notre amour ? Je te laisse rĂ©flĂ©chir, et surtout prend ton temps. Ici, j’ai quand mĂȘme l’occasion de te dire une ultime fois ce que j’ai longtemps gardĂ© en moi Je t’aime. oiseaudelune Merci Eh oui, ils sont formidables, ces Vatore, n'est-ce pas ? lui cherchant Ă  ce qu'elle ne finisse pas seule ; elle s'assurant qu'il ne paie pas les consĂ©quences de son sacrifice ! Hahaha, allons savoir ! Peut-ĂȘtre que si nous allions nous promener au niveau des portes du Corridor d'Edith, nous trouverions une rĂ©alitĂ© alternative oĂč elle a fait sa vie avec Caleb ! Mais comme tu le prĂ©cises bien, cet avenir est incompatible avec le pacte Elinoee Il faut croire que les vampires de Forgotten Hollow ont tous un passif bien douloureux, chacun Ă  leur maniĂšre peut-ĂȘtre que c'est un prĂ©requis pour s'installer dans le hameau Merci pour Lilith đŸ€— je trouve Ă©galement que cette coiffure lui allait trĂšs bien Ouip, Charlotte est maintenant dĂ©cidĂ©e Ă  passer Ă  la vitesse supĂ©rieure... affaire Ă  suivre ! Bien, alors avant toute chose, j'ai une petite annonce Ă  faire si vous avez lu le chapitre 7 de cette histoire eh oui, ça remonte ! avant aujourd'hui, le 11/07/2022. Figurez-vous qu'Ă  cette Ă©poque, le jeu m'a fait mentir, ou plus exactement, il a fait mentir MĂ©phistophĂ©lĂšs – J’aurais dĂ» [me] douter plus tĂŽt [que c'Ă©tait un rĂȘve], poursuivit Charlotte dans une fĂ©brile tentative d’auto-persuasion. D’abord des vampires, maintenant des fantĂŽmes
 C’était ridicule depuis le dĂ©but, comment n’ai-je pas vu m’en rendre compte ? – Oh, je vois. Vous ĂȘtes encore dĂ©sorientĂ©e de cette attaque. Wagner m’a racontĂ©, il n’avait pas l’air content du tout. Il aurait aimĂ© boire votre plasma jusqu’à la derniĂšre goutte. Mais vous pourrez remercier la maĂźtresse des lieux pour avoir Ă©vitĂ© cela. Quoi qu’il en soit, non, vous ne rĂȘvez pas. En revanche, je vous prie de ne pas m’insulter je vaux beaucoup mieux qu’un simple fantĂŽme. – Peu importe, rĂ©pondit Charlotte. Je devrais bientĂŽt voir des sorciers et des loups-garous, n’est-ce pas ? ajouta-t-elle d’un ton sarcastique. – Les loups-garous n’existent plus. Il est vrai que le monde en a connu lors des trois premiĂšres Ăšres de la SimanitĂ©, mais ce temps est rĂ©volu. Quant aux sorciers, la derniĂšre mode consiste Ă  privilĂ©gier l’appellation jeteurs de sorts ». Mais quelle que soit la maniĂšre dont vous les appelez, je vous souhaite de ne jamais en croiser de votre vie. Oh, bien sĂ»r, celle-ci ne devrait plus durer trĂšs longtemps, dĂ©sormais, mais sait-on jamais. BIEN ÉVIDEMMENT, j'ai fait l'acquisition du pack Loups-Garous entre-temps. Il est donc possible que dans un avenir plus ou moins proche, j'inclue un ou deux lycanthropes dans l'histoire mais je n'en dis pas plus pour l'instant đŸ€. En attendant, j'ai donc dĂ©cidĂ© de modifier le passage en gras pour obtenir la version suivante – J’aurais dĂ» [me] douter plus tĂŽt [que c'Ă©tait un rĂȘve], poursuivit Charlotte dans une fĂ©brile tentative d’auto-persuasion. D’abord des vampires, maintenant des fantĂŽmes
 C’était ridicule depuis le dĂ©but, comment n’ai-je pas vu m’en rendre compte ? – Oh, je vois. Vous ĂȘtes encore dĂ©sorientĂ©e de cette attaque. Wagner m’a racontĂ©, il n’avait pas l’air content du tout. Il aurait aimĂ© boire votre plasma jusqu’à la derniĂšre goutte. Mais vous pourrez remercier la maĂźtresse des lieux pour avoir Ă©vitĂ© cela. Quoi qu’il en soit, non, vous ne rĂȘvez pas. En revanche, je vous prie de ne pas m’insulter je vaux beaucoup mieux qu’un simple fantĂŽme. – Peu importe, rĂ©pondit Charlotte. Je devrais bientĂŽt voir des sorciers et des loups-garous, n’est-ce pas ? ajouta-t-elle d’un ton sarcastique. – Le jour oĂč les loups-garous quitteront leur trou perdu de Moonwood Mill pour se rendre Ă  la trĂšs vampirique Forgotten Hollow, nous assisterons Ă  un chaos sans nom. Laissez-les donc Ă  leur place et le monde se portera bien mieux. Quant aux sorciers, la derniĂšre mode consiste Ă  privilĂ©gier l’appellation jeteurs de sorts ». Mais quelle que soit la maniĂšre dont vous les appelez, je vous souhaite de ne jamais en croiser de votre vie. Oh, bien sĂ»r, celle-ci ne devrait plus durer trĂšs longtemps, dĂ©sormais, mais sait-on jamais. Donc voilĂ , dĂ©sormais, les loups-garous existent aussi dans mon univers et toute preuve du contraire n'est que le fruit de votre imagination *insĂ©rer le flash d'un neurolaser de Men In Black ici* place Ă  prĂ©sent au chapitre 34. Bonne lecture ! đŸ€— - Chapitre 34 Un goĂ»t de miel - Quelques mois plus tard, Ă  la chapelle, une Ă©niĂšme dispute Ă©clatait entre deux des plus anciennes habitantes. – Je t’ai dĂ©jĂ  dit mille fois que tu n’étais pas ma mĂšre ! s’emporta AĂŻda. LĂąche-moi un peu et vis ta vie. Enfin, si j’ose dire. – Et moi, contra Charlotte, je t’ai dĂ©jĂ  dit mille fois d’arrĂȘter de jouer au violon Ă  l’étage en pleine nuit ! Tu es peut-ĂȘtre suffisamment grande pour ne plus avoir Ă©cole, mais Tamino et Carmen ont besoin de sommeil. À croire que tu le fais exprĂšs. – Je suis une virtuose, la guimauve. Un talent, ça s’entretient. Mais comme tu n’en as aucun, je conçois bien que tu ne puisses pas me comprendre. – Pourquoi tous ces Ă©clats de voix ? intervint une Edith dont personne n’avait remarquĂ© l’arrivĂ©e furtive. Je vous signale qu’on vous entend depuis le garde-manger. Charlotte ne se fit pas prier pour rĂ©pondre en toute honnĂȘtetĂ© Ă  Edith concernant le comportement de sa fille. Il fut un temps oĂč elle n’avait de cesse de trouver des excuses Ă  AĂŻda mais la jeune femme avait dĂ©sormais vingt ans et ne pouvait plus se cacher indĂ©finiment derriĂšre son Ăąge. – Maman, tenta celle-ci, je t’assure que je fais trĂšs att
 – Maintenant, ça suffit, toutes les deux, s’emporta Edith. VoilĂ  plus de quinze ans que vous habitez ensemble et vous n’ĂȘtes toujours pas capables de vous entendre. J’en ai plus qu’assez et je ne suis vraiment pas d’humeur Ă  en supporter davantage aujourd’hui. La vampire venait en effet d’assister aux naissances de Zwölf et Dreizehn et s’inquiĂ©tait de la condition qu’ils auraient d’ici deux ans. La derniĂšre chose dont elle avait besoin Ă©tait d’assister Ă  des chamailleries des plus idiotes. – AĂŻda, tu vas me faire le plaisir de te contrĂŽler un peu sur le violon. Si tu veux t’entraĂźner, fais-le Ă  des heures raisonnables. Tu n’es pas toute seule Ă  vivre ici. Et toi, Charlotte, la prochaine fois que tu as un problĂšme avec mes enfants, viens m’en parler directement. Un surcroĂźt d’autoritĂ© ne te ferait pas de mal. [
] Suite Ă  cette triple altercation, l’ambiance Ă  la Fledermaus Ă©tait devenue quelque peu maussade pour AĂŻda. Certes, la jeune femme avait eu le plaisir de voir Charlotte se faire rĂ©primander, mais elle-mĂȘme n’avait pas pour autant obtenu gain de cause vis-Ă -vis de sa mĂšre. Que n’aurait-elle pas donnĂ© pour revenir Ă  l’époque oĂč Edith et elle Ă©taient comme seules au monde. Une Ă©poque oĂč le seul invitĂ© digne d’intĂ©rĂȘt Ă©tait MĂ©phistophĂ©lĂšs. À peine AĂŻda eut-elle pensĂ© au fantĂŽme que celui-ci fit son apparition Ă  ses cĂŽtĂ©s. La cambionne avait complĂštement oubliĂ© qu’il devait venir ce jour-ci ! Pourquoi n’avait-elle pas songĂ© Ă  descendre son violon avec elle pour l’épater de ses rĂ©cents progrĂšs ? – Tu sembles maussade, aujourd’hui, Layla, s’enquit MĂ©phistophĂ©lĂšs en la rejoignant Ă  l’espace bar de la salle Ă  manger. Est-ce parce que tu as enfin rĂ©alisĂ© que tu avais le mĂȘme nez que ta mĂšre ? Ce n’est pas grave, tu sais. Personne n’est parfait. – Abruti, lĂącha AĂŻda avant d’avoir pu s’en empĂȘcher. C’est autre chose. Rien qui ne t’intĂ©resse. – Je t’en prie, Ă©claire ma lanterne. Comment peux-tu penser que je ne me soucie pas de toi ? AprĂšs un instant d’hĂ©sitation, la jeune femme se dĂ©cida Ă  se jeter Ă  l’eau. – C’est juste que
 je m’ennuie. Je ne m’entends avec personne ici, sauf toi et maman, mais tu n’es jamais lĂ  et elle est toujours occupĂ©e. Je tourne en rond. – Tu vaux mieux que tes adelphes, je te l’ai dĂ©jĂ  dit. – Peut-ĂȘtre, mais eux sont toujours fourrĂ©s ensemble alors que moi
 Je me doute bien que c’est dĂ» Ă  mon comportement de lama, mais je ne peux pas m’en empĂȘcher. – C’est ce qui fait que tu es authentique. Ne change rien, tu es superbe. Tu sais quoi ? Je pense qu’un bon verre de jus t’aiderait Ă  avoir les idĂ©es plus claires. Sur ces mots, MĂ©phistophĂ©lĂšs passa de l’autre cĂŽtĂ© du bar et concocta une boisson forte Ă  sa protĂ©gĂ©e. Lorsqu’il eut terminĂ©, il tendit le verre Ă  AĂŻda, qui le contemplait d’un air toujours mĂ©lancolique. – Pourquoi es-tu gentil, tout Ă  coup ? – Tu m’insultes, petite cambionne ! J’essaie simplement de te donner un coup de fouet pour t’éviter de basculer du mauvais cĂŽtĂ©. Tu ne voudrais pas devenir comme Charlotte, pas vrai ? En effet, il en Ă©tait hors de question. Comme si MĂ©phistophĂ©lĂšs avait prononcĂ© les mots magiques, AĂŻda se ressaisit et vida son verre d’un trait. À peine l’eut-elle fini qu’elle se sentit de bien meilleure humeur, prĂȘte Ă  se dĂ©fouler verbalement avec son barman de fortune au sujet de Charlotte Fox. – Des fois je regrette quand mĂȘme que les Ă©vĂ©nements du laboratoire aient eu ces consĂ©quences, confessa-t-elle. – Rassure-moi, s’enquit MĂ©phistophĂ©lĂšs. Tu veux dire que ce que tu regrettes, c’est que la Faucheuse n’ait pas emmenĂ© l’humaine pour de bon, n’est-ce pas ? – Je
 oui, c’est ça, rĂ©pondit-elle aprĂšs un instant d’hĂ©sitation dont elle ignorait la cause. [
] En dĂ©pit de ce dernier moment de doute qu’elle n’avait aucune envie de creuser, AĂŻda regagna l’étage de la chapelle de bien meilleure humeur. Elle se surprit mĂȘme Ă  avoir envie de s’arrĂȘter sur le palier pour discuter un peu avec Orpheus. – Que fais-tu, microbe ? Si tu cherches Ă  battre mon record Ă  Blic-Bloc, c’est peine perdue ! Je suis Ă  des annĂ©es-lumiĂšres de ce que tu pourras accomplir ! – Non, je ne joue pas, rĂ©pondit le garçon en toute honnĂȘtetĂ©. J’ai trouvĂ© quelque chose de bizarre. AĂŻda eut Ă  peine le temps de voir un fichier intitulĂ© Ordalie » ainsi qu’un tableau comportant des photos d’elle-mĂȘme et de ses frĂšres et sƓur qu’Orpheus refermait le logiciel. – Mais on n’a pas le droit de regarder ce que c’est. – Dans ce cas, pourquoi as-tu quand mĂȘme ouvert ce fichier ? – Tu ne vas rien dire Ă  maman, hein ? La jeune femme masqua un sourire de satisfaction. – C’est entendu, petit frĂšre. Je ne dis rien mais toi, tu gardes le secret que je vais te dire. Orpheus accepta et, en un seul et mĂȘme mouvement, les deux aĂźnĂ©s d’Edith se dirigĂšrent vers la chambre des garçons. À peine furent-ils installĂ©s sur le lit d’Orpheus qu’AĂŻda lui raconta ce qu’elle savait du projet de leur mĂšre. – MĂ©phisto m’a dit que maman allait chercher Ă  nous dĂ©partager quand nous serions tous adultes. – Comment ferait-elle ? demanda Orpheus. – Je ne sais pas encore, concĂ©da la jeune femme avec amertume. On n’a rien voulu me dire. Mais puisque maman ne veut pas que je m’entraĂźne tant que vous ĂȘtes enfants, je pense qu’elle cherchera Ă  mesurer nos pouvoirs. – Alors d’aprĂšs ton MĂ©phisto, l’Ordalie serait une sorte de concours entre nous tous ? – Peut-ĂȘtre. Mais ce n’est pas mon » MĂ©phisto, microbe, calme-toi. Mais AĂŻda n’avait pu empĂȘcher ses joues de s’empourprer. Orpheus le remarqua mais s’abstint de tout commentaire. – Tu ne crois pas que tu devrais lui parler de ce que tu ressens ? demanda-t-il d’un air entendu Ă  sa grande sƓur. – Orpheus, tu es bien gentil mais tu as treize ans, alors tes conseils sur les relations amoureuses
 – Sur les relations tout court, tu veux dire. Ne le prends pas mal, mais tu n’es pas trĂšs douĂ©e avec les gens. Je n’ai peut-ĂȘtre que treize ans mais ça me suffit pour savoir que quand on ne tient qu’à une poignĂ©e de personnes, il vaut mieux ĂȘtre le plus honnĂȘte possible avec eux, non ? Bien Ă©videmment, AĂŻda n’admettrait jamais qu’Orpheus avait raison, mais les paroles du garçon firent Ă©cho en elle. Peut-ĂȘtre valait-il mieux suivre ses conseils, aprĂšs tout. Seulement, trouverait-elle un jour le courage de rĂ©vĂ©ler ses sentiments Ă  MĂ©phistophĂ©lĂšs ? Le fantĂŽme semblait toujours si dĂ©tachĂ© de tout. Et s’il l’envoyait sur les roses ? [
] Il fallut attendre presque deux ans pour que l’occasion se prĂ©sente Ă  AĂŻda. En cette veille du quinziĂšme anniversaire d’Orpheus, les habitants de la Fledermaus Ă©taient en pleins prĂ©paratifs et la jeune femme en avait profitĂ© pour s’isoler dans le salon du deuxiĂšme sous-sol, prĂ©textant l’envie de rĂ©pĂ©ter ses compositions de violon. Ce que tout le monde ignorait, c’était qu’elle n’y Ă©tait pas seule. – Alors, demanda-t-elle Ă  son invitĂ©. Qu’en as-tu pensĂ© ? – T’entendre aussi Ă  l’aise au violon me rappelle dĂ©sagrĂ©ablement la fille de Vlad et sa compĂ©tence incontestable pour l’orgue, rĂ©pondit MĂ©phistophĂ©lĂšs. Fort heureusement, tu ressembles bien plus Ă  son frĂšre, ce qui annule quelque peu les mauvais souvenirs. – Tu pouvais aussi simplement dire que tu avais aimĂ©, bougonna AĂŻda. – Bien sĂ»r que j’ai aimĂ©, ma chĂšre. Tu as un talent qui rivalise avec ta mĂšre, c’est dire. Un tel compliment procura Ă  la jeune femme une intense vague de bien-ĂȘtre au niveau de son ventre. L’heure Ă©tait-elle enfin venue ? – Tu sais, bredouilla-t-elle, j’ai quelque chose Ă  te dire. Enfin, je crois. Mais je ne sais pas comment faire. – Bouge tes lĂšvres tout en produisant du son avec tes cordes vocales et ça devrait marcher. Ainsi, se jetant enfin Ă  l’eau, AĂŻda lui avoua ce qu’elle avait sur le cƓur. Pendant un instant, elle crut que MĂ©phistophĂ©lĂšs allait retirer brusquement sa main de la sienne mais il n’en fit rien. Le fantĂŽme l’écoutait avec attention et semblait la voir pour la premiĂšre fois. – Tu es sacrĂ©ment tĂ©mĂ©raire pour penser que je pourrais m’intĂ©resser Ă  une jeune femme que je connais depuis l’enfance. Ce ne fut qu’aprĂšs qu’il se mit Ă  rire. AĂŻda, bien qu’elle Ă©prouvĂąt dĂ©sormais la mĂȘme sensation que si on l’avait plongĂ©e dans un bain d’eau glacĂ©e, dĂ©cida de l’imiter pour ne pas perdre la face. – Je ne sais pas ce qui m’a pris, dit-elle en continuant Ă  se forcer Ă  rire. Excuse-moi, ce doit ĂȘtre la fatigue. J’ai beaucoup rĂ©pĂ©tĂ© mes partitions, ces derniers temps et je ne sais plus ce que je dis. Sur ce nouveau mensonge, la jeune femme se leva et se dirigea vers la porte, bien dĂ©cidĂ©e Ă  conserver son sourire jaune accrochĂ© au visage le temps de remonter jusqu’à sa chambre pour se cacher sous ses draps pour les dix prochaines annĂ©es. Cependant, alors qu’elle s’apprĂȘtait Ă  regagner l’étage supĂ©rieur, elle sentit un courant d’air frais dans son dos. Il l’avait suivie. – AĂŻda
 Alors, tout autour d’elle s’arrĂȘta. Plus rien n’avait d’importance que cet instant, comme si interrompre ce dernier allait briser l’équilibre du monde. Était-ce en raison de l’imminence de l’anniversaire d’Orpheus, AĂŻda l’ignorait, mais force Ă©tait de constater que le goĂ»t de ce premier baiser lui Ă©voquait celui des gĂąteaux d’anniversaire de son frĂšre. Un goĂ»t de miel
 [
] Le lendemain, dans l’appartement de la chapelle, tout le monde se prĂ©parait Ă  la petite soirĂ©e en l’honneur des quinze ans d’Orpheus. Cependant, l’intĂ©ressĂ© semblait aux abonnĂ©s absents. – Charlotte, demanda Carmen, je peux t’aider pour le gĂąteau, s’il te plaĂźt ? – Bien sĂ»r que tu peux, ma chĂ©rie. Ainsi, la Brindletonienne prĂ©para les ingrĂ©dients et, avec l’assistance de Carmen, commença la prĂ©paration. – Tu sais faire tous nos gĂąteaux d’anniversaire ? demanda la fillette. – Évidemment, rĂ©pondit la fantĂŽme. La plupart du temps, c’est Ulrike qui les confectionne, mais comme j’avais promis Ă  Orpheus de faire le sien moi-mĂȘme, je m’y tiens. D’ailleurs, sais-tu oĂč est ton frĂšre ? Tout le monde le cherche. – SĂ»rement dans le jardin, comme d’habitude. Maman est allĂ©e voir. ConformĂ©ment aux attentes de Carmen, Edith trouva bien son fils Ă  l’extĂ©rieur. La vampire Ă©tait admirative de la passion qu’il entretenait non pas pour le jardinage uniquement, mais pour le savoir en gĂ©nĂ©ral. DĂšs lors qu’il s’intĂ©ressait Ă  un sujet, Orpheus faisait tout son possible pour le maĂźtriser jusqu’au bout. – Jeune homme, demanda Edith, as-tu conscience que tout le monde n’attend plus que toi, en bas ? – Oui maman, rĂ©pondit Orpheus. Je finissais juste de dĂ©poser du fertilisant sur les plants d’aconit. Ils doivent rester en bonne santĂ© si l’on veut continuer de produire du bon miel. Il Ă©tait vrai qu’entre Orpheus et le miel, c’était une longue histoire. Edith s’en amusait beaucoup et, posant les yeux sur son fils, Ă©prouvait une certaine fiertĂ©. S’il apprĂ©ciait dĂ©jĂ  autant un produit destinĂ© aux vampires Ă  son Ăąge, c’était prometteur pour celui qu’il serait en grandissant. – Comme lorsque c’était le tour de ta sƓur, confessa-t-elle, cela va me faire Ă©trange de te voir plus ĂągĂ©. – Je ne change pas, tu sais. Je reste le mĂȘme. – Ce sera difficile Ă  concevoir lorsque tu auras pris trois tĂȘtes de plus ! Je n’ose imaginer l’état de Charlotte. Il est Ă  prĂ©sent bien loin, le temps oĂč tu souhaitais te marier avec elle ! – Maman, se plaignit Orpheus, l’air gĂȘnĂ©. Tu sais trĂšs bien que c’est fini, ça. Comme j’étais petit, je disais des bĂȘtises. Sur cette taquinerie, Edith et Orpheus regagnĂšrent le deuxiĂšme sous-sol de la chapelle oĂč un joli gĂąteau au miel Ă  nouveau confectionnĂ© par Charlotte attendait le garçon. Ce dernier prit place en bout de table, entourĂ© de toute sa famille. Heureusement, MĂ©phistophĂ©lĂšs n’était pas de la partie. Lorsque le moment arriva, Orpheus rĂ©flĂ©chit au vƓu qu’il devait faire avant de souffler. Celui-ci vint assez instinctivement bien qu’il eĂ»t le droit d’apprendre presque tout ce qu’il voulait, la seule chose qui lui importait lui Ă©tait interdite par sa mĂšre. Je voudrais savoir ce qu’est l’Ordalie et ce que cache maman. L’instant d’aprĂšs, les bougies furent soufflĂ©es. Bien que lui-mĂȘme l’ignorĂąt, Edith fut une nouvelle fois stupĂ©faite de sa ressemblance avec son gĂ©niteur. En serait-il de mĂȘme pour chacun de ses cambions ?À suivre...Bonus Lors du chapitre du mariage de Lilith, j'ai oubliĂ© de vous partager cette bulle de dialogue fort appropriĂ©e de mamie Lagrise, puisqu'ils parlaient Ă  cet instant de sa mission Ă  la campagne Et sans transition, voici Orpheus adolescent ! Des messages pour souhaiter un joyeux anniversaire
 Message joyeux anniversaire
 Que ce jour t’apporte bonheur et joie et comble ton coeur de rĂȘves exaucĂ©s ! tu mĂ©rites les choses les plus merveilleuses, je t’offre un ciel bleu et des fleurs aux mille senteurs. Bon anniversaire Message joyeux anniversaire
 Une fĂȘte c’est comme une fleur, ça ne dure que quelques heures. Mais ça laisse dans le cƓur un souvenir que rien ne peut ternir ! Tout ce que tu veux pour ta fĂȘte et bien plus encore je te souhaite. Joyeux Anniversaire ! Message d’anniversaire
 Et encore une bougie de souffler et encore une annĂ©e de passer. Jour aprĂšs jour, l’annĂ©e fait son tour et voilĂ  le retour, du plus beau jour, le jour de ton anniversaire
 SMS Joyeux anniversaire
 Que bonheur plaisir et rĂ©ussite t’accompagne. Joyeux anniversaire 
 Texte joyeux anniversaire
 Au final, ce n’est pas les annĂ©es de ta vie qui compte, mais la vie dans tes annĂ©es ! Joyeux anniversaire
 Joyeux anniversaire message
 Une bougie de plus sur un gĂąteau, un printemps de plus dans une vie, un peu de soleil dans l’ñme, un jour qui sort de l’ordinaire. Mille sourires, joies et sentiments liĂ©s en une merveilleuse joie du coeur
Joyeux anniversaire ! Joyeux anniversaire
 Que cet anniversaire soit le dĂ©but des plus belles annĂ©es de ta vie. Joyeux anniversaire ! Joyeux anniversaire
 Salut, je prends cet instant pour te souhaiter un heureux et joyeux anniversaire, il y a des dates que l’on oublie, mais la tienne est Ă  retenir. Joyeux anniversaire
 Mes vƓux les plus chĂšres enveloppĂ© du bonheur parfumĂ© de joie et bien garni de rĂ©ussite, car cette annĂ©e t’ouvre les portes de la richesse et la joie. Joyeux anniversaire. Message pour demander pardon, sms de rĂ©conciliation Je me sens mal aprĂšs notre dispute. Je nous prĂ©fĂšre amoureux. Je t'aime de tout mon cƓur. Je te demande pardon si je t’ai blessĂ©. Ta blessure est ma prison. Je t’écris ce beau message de rĂ©conciliation pour te rappeler combien je t’aime. Je n’aime pas trop parler de ce que je ressens, mais je suis dĂ©solĂ©e. Je te prie de m'excuser si je t'ai maladroitement blessĂ© par mes mots ou mes gestes. Pourtant sans droit Ă  ton Ă©gard, j'ai peur de l'instant oĂč tu ne seras plus lĂ , si j’osais, je te demanderais de rester prĂ©s de moi. Il est des moments oĂč l'on se trouve idiot et oĂč l'on a du mal Ă  trouver les mots et les gestes pour rĂ©parer ce que l'on a fait. C'est mon cas. Je t'en supplie accepte mes excuses. Si tu ne me parles pas, je remplirai mon coeur de ton silence pour te dire Ă  quel point tu me manques et combien il est dur de t'aimer. Tu sais que je suis triste sans toi, je suis malade quand je ne te vois pas, je pleure quand on ne se parle pas. Mon amour ne m'abandonne jamais, tu vois combien je souffre sans toi. Ce message ne peut exprimer jusqu’à quel point je suis dĂ©solĂ©. Est-ce qu’on peut se rencontrer pour que je te demande pardon. J’ai beaucoup rĂ©flĂ©chi, je suis fautive autant que toi. Je veux qu’on recommence Ă  zĂ©ro. Depuis que tu es parti, je pense Ă  toi jour et nuit, ce dĂ©part ne mettra pas fin Ă  notre belle histoire d’amour, ce n’est pas facile. Je te prie de me pardonner mon attitude, ma colĂšre et mes mots qui ont dĂ©passĂ© ma pensĂ©e. Je t'estime et te respect beaucoup. Tu es une personne qui compte Ă©normĂ©ment pour moi. Tout est entiĂšrement ma faute. Excuse-moi de t’avoir ignorĂ© hier. Cela me brise le cƓur de t’avoir fait du mal. Au nom de notre amour, je te demande pardon. L'idĂ©e de te faire souffrir m'est insupportable, tu Ă©claires ma vie comme ces Ă©toiles Ă©clairent le ciel. Pardonne-moi mon cƓur. Je regrette vraiment ce que j’ai pu te dire dans ma colĂšre injustifiĂ©e. J’espĂšre ne pas t’avoir blessĂ©. J’espĂšre que tu accepteras mes sincĂšres excuses Je suis dĂ©solĂ©. Je ne voulais pas te blesser. Qu’est-ce que je peux faire pour que tu me pardonnes. Excuse-moi mon cƓur je t’aime et je ne veux pas ĂȘtre celui qui te fera pleurer mais celui qui essuiera tes larme, mon amour je ne veux plus jamais te voir triste. Je me sens mal, je n’aime pas nous voir comme ça, j'espĂšre te revoir trĂšs bientĂŽt.

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